Couleurs

 

 

 

 

Passage de la Fleur, à Montbéliard,
photographie : avril 2015.

 

 

 

 

Le beau franc-comtois

 

 

 

 

 

 

 

 

Le château de Montbéliard (XIIIe-XIXe s.), dans le Doubs,
photographies : avril 2015.

 

 

 (en mars 2014.)

 

 

 

Le printemps dans le jardin

 

 

 

 

Dans un jardin, à Montbéliard, dans le Doubs,
photographie : avril 2015.

 

 

 

 

La Librairie de Jean, duc de Berry, au château de Mehun-sur-Yèvre, en 1416 (67)

 

 

 

 

Introduction.

 

 

 

« 146. Un petit livre en latin, qui se adresse à Mons. le duc, compilé par Aymery, abbé de Moissac, des Lamentations de la mort du roy Charlemagne, escript de lettre de fourme et historié en plusieurs lieux ; couvert de cuir vermeil houssié [doublé de tissu], et pardessus une chemise de drap de damas noir doublé de tiercelin vermeil, garni de deux fermoers d'or, où il a en l’un un ours et en l’autre un cigne [sur l'un des fermoirs figure l'image d'un ours, sur l'autre, celle d'un cygne ; l'ourson et le cygne blessé sont les emblèmes de Jean de Berry], tenans chascun un escusson esmaillié aux armes de Mons. ; lequel livre l’évesque de Saint-Flour [Gérard du Puy, mort en 1389, cardinal-prêtre, neveu du pape Grégoire XI] donna à estraines à mondit seigneur le premier jour de janvier 1405._20 liv. »

 

Aimericus de Peyraco (13??-1406), ou Aymeric de Peyrac, ou encore Aymericus de Peyraco, bénédictin, prieur de Saint-Luperce dans le Gers, puis abbé de Moissac de 1377 à sa mort, est l’auteur d’une Chronique mi-historique mi-légendaire écrite en latin. Les quatre parties de cette Chronique sont consacrées respectivement à l'histoire des papes jusqu'à Benoît XIII, à l'histoire des rois de France depuis Clovis, à une histoire de l'abbaye de Moissac depuis sa fondation jusqu'en 1402, enfin à une chronique des comtes de Toulouse dans leurs fonctions d'abbés séculiers de Moissac. L’ouvrage en possession du duc de Berry est-il un extrait de la deuxième partie de cette œuvre ? Je n'en suis pas certain.

 

(à suivre.)

 

 

 

Licorne de verre

 

 

 

 

 

Max Ingrand (1908-1969), détail du vitrail de la Vierge à la Licorne (1950),
en l'église Saint-Ouen de Pont-Audemer,
photographie : mars 2015.

 

 

 

 

La licorne aux pieds de Marie

 

 

 

 

Max Ingrand (1908-1969), vitrail de la Vierge à la Licorne (1950),
en l'église Saint-Ouen de Pont-Audemer,
photographie : mars 2015.

 

 

 

 

La voûte de bois

 

 

 

 

Dans la nef de l'église Saint-Ouen (XVe-XVIe s.) de Pont-Audemer,
photographie : mars 2015.

 

 

 

 

Pour célébrer un tricentenaire

 

 

 

 

 

À Versailles,
photographie : mai 2015.

 

 

 

 

 

Voir Pont-Audemer en passant et sous la pluie (ou La vie en noir & blanc)

 

 

 

 

 

À Pont-Audemer, dans l'Eure,
photographie : mars 2015.

 

 

 

 

L'heur

 

 

 

 

 

Le Vieux Bassin, à Honfleur,
photographie : mars 2015.

 

 

C'est ici la photographie d'une occasion de quelques secondes, lorsqu'un soleil violent, et soudain, illumine quelque scène devant notre regard en perçant les nuages d'un beau ciel sombre et lourd — et cette splendide lumière détachée sur l'obscur, comme j'aimerais toujours la rencontrer dans les plus beaux lieux, devant les plus merveilleux châteaux, dans les plus belles villes, ou face à la mer ! Elle ne dure que cet instant qui ressemble à l'acmé du désir demeuré désir.

 

 

 

 

 

L'extérieur et l'intérieur

 

 

 

 

 

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L'église Sainte-Catherine (XVe-XVIe s. (le porche est du XXe s.)), à Honfleur,
photographies : mars 2015.

 

 

 

Le beau ciel du soir

 

 

 

 

 

Un soir à Honfleur,
photographie : mars 2015.

 

 

 

Fantaisie

 

 

 

 

 

Au Vieux Bassin de Honfleur, le quai Sainte-Catherine,
photographie : mars 2015.

 

 

 

« Rébarbatif et hargneux »

 

 

 

 

Détail d'un fac-similé (?) de la partition du « Choral inappétissant »,
première pièce des Sports et Divertissements (1914),
dans la maison natale d'Érik Satie, à Honfleur,
photographie : mars 2015.

 

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Érik Satie, Sports et Divertissements (mars-mai 1914),
Aldo Ciccolini, piano (1971)

 

 

 

Échantillons

 

 

 

 

Fac-similés de signatures d'Érik Satie,
dans sa maison natale, à Honfleur,
photographie : mars 2015.